Mercredi 9 juin 2010 à 18:02

C'est moche, tout ça est très moche...
Mais il faut que je vous en parle!
Pourquoi? Mais pour que vous puissiez constater ma déchéance la plus totale, la sorditude de mon existence, la misère de mon manque affectif et la sauvagerie de mes pulsions alcoolisées, pardi!
Qui ne s'intéresserait pas à ça, franchement?
(Toi? Comment ça toi? Bah, fous le camp alors, mais vite, hein... parce que si je t'attrape... Gare à ta mère!)

Alors, alors... Commencez donc par vous allonger et fermer les yeux...
Il était une fois une jeune fille fort attirée par un jeune homme de sa classe. Ce jeune homme ayant malheureusement déjà une petite amie, la jeune fille se contentait de fantasmer sur le corps de rêve dudit homme. Il s'avera que le jeune homme la trouvait appétissante aussi, mais l'on verra celà plus tard.
Quelques mois passèrent ainsi, emplis de moults devoirs, khôlles et autres délices intellectuels. La jeune fille pensait toujours à lui.
Puis vint un soir de repas de classe, un jeudi pour être exacte. La jeune fille eu la lumineuse idée de faire un before chez elle avec sa meilleure amie et quelques autres personnes qui ne vinrent finalement pas. Se retrouvant seules toutes les deux, elles décidèrent de trinquer à l'infortune et s'enfilèrent 3 bouteilles de vin Monoprix en un peu moins d'une demie-heure. Le produit fût vite efficace. Le repas se déroula de manière caustique (en effet, il semblerait que le grand trip de la jf ce soir là était d'essayer d'envoyer des textos à l'aide de son portefeuille... --" ).
L'alcool redescendant quelque peu, la troupe se rendit chez Boulonov' (=jh possédant un appartement confortable et susceptible d'accueillir plus de trois personnes). là-bas, ils trinquèrent encore une fois. Puis vint l'heure de rentrer. On ne sait comment, la jf repartit sans sa meilleure amie et se fit raccompagner par le jh. On imagine la suite...

La suite réside en fait en quelques vagues flash de conscience momentanée que l'on évoquera pas par pudeur et pour éviter de transformer ce blog en remake déguelasse de film porno de mauvais goût...

Le lendemain, la jf se sentit un peu gênée, n'ayant plus beaucoup de souvenirs, ni de la soirée, ni de la suite de celle-ci...
Regretta beaucoup l'alcool ingurgité, mais pas vraiment l'acte.
Se demande aujourd'hui, après avoir fait moult recherches qui prouvent que le jh n'était pas si innocent mais plutôt calculateur sur ce coup, quels moyens elle peut envisager pour le ramener une deuxième (et dernière) fois dans son lit...

Hum... Un texto peut-être...

Je vous l'avais dit... Pitoyable... =)

Lundi 24 mai 2010 à 15:04

http://gato.cowblog.fr/images/osezlamasturbationfmininebig.jpg


Terrible nouvelle. Le plaisir solitaire ne prend plus.

Mon corps se refuse à cette pratique. Ou plutôt n’y réagit plus. Aurais-je atteint la limite, le seuil maximal autorisé d’orgasmes en chaîne et prodigués par ma main (experte) ? Aurais-je épuisé mes fantasmes ? Aurais-je besoin d’autre chose, comme de l’affection ?

Je me sens bien faible tout à coup.

Ma toute puissance se réduit à néant, un peu comme un mec réduit à l’impuissance face à celle qu’il désire depuis des mois. Enfin, je dis pas que je désire ma main depuis des mois, non plus, hein…

C’est juste qu’habituellement, cette petite chose là fonctionne, que j’ai mon orgasme quand je veux, où je veux et que ça me calme suffisamment les palpitations intérieures pour pouvoir reprendre une activité normale. (Sachant que je palpite vite, comme fille…)

Ce geste hygiénique et quotidien, pour ne pas dire très récurrent, permet donc à ma vie de suivre un cours a peu près normal.

Quand je parle de normalité, j’évoque :

 

 

 

·         Le fait de ne pas parler de sexe h24, avec tout le monde et pour n’importe quoi ;
·         De ne pas me mettre à rire hystériquement dès que je parle à un être humain que je mettrais bien dans mon lit ;
·         De ne pas sauter à la gorge dudit être humain pour le violer sauvagement et devant tout le monde ;
·         De ne pas soupirer toutes les 30 secondes en imaginant une quelconque scène, que par décence, je n’expliciterais pas…
Ca pourrait paraître anodin, mais ça ne l’ai pas du tout. Imaginez que vous deviez gérer tout ça, toute la journée et que vous deviez, en plus, vous concentrer en cours. IMPOSSIBLE.
 
Ajoutez à cela, le fait que le dernier homme avec qui vous ayez passé du temps sous la couette soit dans votre classe et adopte à votre endroit une attitude d’indifférence amicale quoique profonde…
Vous comprendrez aisément mon addiction.
 
Ma question vitale du moment est alors: Comment vais-je tenir ces trois horribles jours de concours blancs, sans craquer une seule fois, si je ne puis plus me satisfaire ?
Comment vais-je pouvoir me concentrer sur mes pourtant bien aimées matrices ? (Je rappelle que faire des maths n’a jamais été orgasmique pour personne, pas même après une immonde épreuve de 4 heures d’AEHSC…)
Si je ne poste plus dans les prochains jours, vous pourrez éventuellement conclure à une défenestration intempestive de ma part ou bien  à mon arrestation suite à une agression sexuelle sur Quatre Heures infortuné. (Système complet d’événements ?)
 
Un jour, je vous parlerais de Quatre Heures. Quand j’aurais donné et pris du plaisir avec un autre être humain. Sinon, je risque de me mettre à pleurer (de frustration, bien entendu !) ou à mordre.
 
Bien à vous, bande de nouilles.
 

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